L’impression 3D connaît actuellement une grande phase de croissance, que ce soit niveau de son évolution, ou encore au niveau de sa réputation. Cependant, nombreux sont ceux qui ignorent encore comme elle fonctionne vraiment aujourd’hui, en dépit de cette grande expansion. Pourtant, il faut souligner que nombreux sont ceux qui s’y intéressent de près à présent.

Définition de l’imprimante 3D

On sait tous déjà ce qu’est une imprimante de nos jours, cet appareil qui aide chacun à imprimer ses documents, que ce soient des fichiers textes ou encore des images, tout y passe. Cependant, lorsque l’on parle d’imprimante 3D, on sort définitivement de ce contexte. Contrairement à l’imprimante classique, l’imprimante 3D se dispense de l’utilisation du papier comme support d’impression, en effet, il se base plutôt sur une toute nouvelle technologie.

Une technologie que l’ingénieur américain Chuck Hull a étudié et travaillé depuis 1986, se basant sur la stéréologie, ce qui lui permet de façonner des objets en trois dimensions. La première imprimante 3D s’est vu commercialisée pour la première fois sur le marché vers la fin des années 90, et depuis, de nombreux modèles et de nombreuses marques l’ont suivi. Et c’est sans parler des différentes méthodes applicables, qui ont bien évoluées avec le temps.

L’imprimante 3D et ses variantes

On note pour cela le modèle FDM ou FFF ou encore MPD, les acronymes pour Fused Deposition Modeling, et Fused Filament Fabrication, ainsi que le Molten Polymer Deposition. Chacun de ses modèles se fait regrouper dans la catégorie des impressions par dépôt de filament, qui n’est autre que le premier type d’impression 3D connu sur le marché.

Ensuite, il y a la solidification par la lumière, plus connu des gens sous le nom de stéréolithographie, et souvent abrégé en SLA. La méthode la plus utilisée pour ceux qui ont régulièrement besoin de fabriquer de plus grosses pièces. Puis, il y a la méthode par Polyjet, qui se base sur l’utilisation de rayon Ultra-violet, et qui propose une plus grande finesse dans la finition, ce qui permet de créer de parfaite pièce de rechange, même des engrenages.

Et pour finir, il y a le frittage laser, qui se prénomme aussi Selective Laser Sintering, qui se base sur l’utilisation de faisceau laser fusionner à de la poudre spécifique. Comme il est cité sur ce lien à présent, on note différents types d’imprimantes 3D sur le marché de nos jours, ce qui fait qu’il est assez important pour chacun de choisir correctement celle qui lui convient le mieux.

Le principe de l’imprimante 3D

On est nombreux à se demander comment fait l’imprimante 3D pour réaliser de pareille prouesse, et pourtant, nous sommes tous témoins de sa praticité, c’est ce qui nous incite à en savoir d’avantage à son propos.

Toutefois, pour faire court et simple, elle se base sur le procédé de collage de particules entre elles, en suivant une modélisation fait auparavant sur son PC, à l’aide des logiciels correspondants. D’autant plus que l’on rencontre différents types de logiciel de Conception Assistée par Ordinateur sur le marché à présent, que ce soient les modèles gratuits ou les payants.

Le procédé reste souvent le même quel que soit le type d’imprimante 3D choisie, cependant, la différence se ressent tout de même au niveau de son résultat. C’est pour cela qu’il est toujours indispensable à tous de bien choisir son imprimante 3D avant de se laisser tenter par son acquisition. Sachant qu’il est assez facile de maîtriser ses appareils de nos jours, grâce à leur praticité, ainsi que son manuel explicite, qui est livré avec.

Utiliser une imprimante 3D ne devrait plus poser de problème à quiconque de nos jours, à condition de s’en procurer une neuve, afin de profiter de tous les avantages et privilèges qui vont avec. Et on ne parle pas seulement du Service Après-Vente.